Entre coach wingwave® et SUPERVISION
« Entre coach wingwave » est une page qui aurait dû exister depuis 2019. Depuis cette année, j’ai formé de nombreux coach wingwave, et beaucoup d’entre nous avons choisi de rester en contact.
Cette page est spécialement conçue pour répondre à toutes vos questions, que vous ayez suivi la formation avec moi ou non. Elle se veut un espace d’intervision et de supervision par écrit, permettant à chacun de bénéficier des retours et des conseils des autres membres de notre communauté.
Lorsque des questions plus complexes se présentent, ou si vous en faites la demande, nous pourrons organiser des supervisions en ligne. Ces sessions seront l’occasion de discuter en profondeur des problématiques rencontrées, d’explorer de nouvelles approches et de renforcer nos compétences en tant que coachs wingwave.
Le petit + entre coach wingwave®
En outre, je proposerai des soirées « entre coachs wingwave » une fois tous les trois mois. Ces rencontres seront l’occasion de se réunir, d’échanger sur nos pratiques, de poser des questions et de partager nos réussites ainsi que nos défis. Pour que ces soirées soient les plus bénéfiques possibles, je vous encourage à préparer vos questions à l’avance et à les noter ici. Cela nous permettra d’aborder les sujets qui vous tiennent à cœur et de garantir que chacun puisse tirer le meilleur parti de ces rencontres.
L’objectif de cette page est de créer une communauté solidaire et dynamique, où chacun peut trouver le soutien et les ressources nécessaires pour continuer à évoluer dans sa pratique du coaching wingwave. Ensemble, nous pouvons faire face aux défis et célébrer les succès qui jalonnent notre parcours professionnel.
Inter-vision et Supervision
Pose tes questions ici et tu auras des réponses rapidement.
QUESTION de Anne.
Un supervision a été organisée et filmée pour répondre à ces questions
Voici en plus la retranscription de sa demande et mes réponses.
Sujet de supervision/ intervision : fiabilité du test myotatique et santé
J’ai une cliente, M, avec qui la première séance a été laborieuse, car je sentais des incohérences avec le test myotatique. Lors de la 2e séance, l’arbre des assertions nous amène à une maladie à l’âge de 4 ans : Spina bifida. Sa jambe gauche est particulièrement affectée, et son talon ne touche pas le sol, mais je ne le voyais pas car elle porte des chaussures avec semelles compensées… C’était justement du côté gauche que je faisais le test jusque là… Nous avons changé de côté, et problème résolu ! + de force musculaire et réponses cohérentes.
• Avez-vous des exemples de test myotatique biaisé par une condition ou une maladie ?
• Qu’aurais-je pu faire différemment pour identifier plus rapidement la problématique ?
• Autre chose ?
Bonjour Anne avant de rentrer dans le détail de la supervision : vous avez trouvé l’âge de la maladie à la deuxième séance.
A ce moment là testais-tu du côté gauche ?
-Question suite
Oui 2e séance, encore côté gauche. Réponses incohérentes lorsque je testais la nature du stress (emo/soma/spi). Jai fait une pause pour nommer ce fait.
Scène de départ : conflits relationnels
Croyance limitante “je suis seule”, cognition positive “je suis soutenue”.
Émotion : tristesse (intensité -10)
C’est après un balayage sur cette émotion qu’a émergé l’image pour M : “j’ai 4 ans et je suis toute seule sur mon lit, je viens d’être opérée”.
Après passage à droite pour le test et suite du traitement, “ça va”.
REPONSE aux questionnements de Anne à propos du test myotatique
Toujours avec un test sur la main gauche Anne et M. ont trouvez :
la confirmation que le sujet était conflits relationnels
Les croyances limitante et positive
L’émotion
Ils ont aussi pu aller vérifier l’âge de 4 ans et la scènes à l’hôpital.
Ils ont donc pu travailler avec la main gauche.
Rappel
Comment préparer le client au travail que nous allons faire
– Rapport
Explication des réactions physiques liées à la peur, la panique. Métaphore du hoquet
Expliquer en détail les phases REM
La belle au bois dormant, la peur de l’apprenti cuisinier et la claque
Faire une démonstration du balayage wingwave Il est possible que le client ait l’impression que le balayage est trop rapide. Lui expliquer avant même qu’il n’en parle que cette impression est due à une émotion et que les yeux n’ont aucun problème avec cette vitesse.
Pendant le balayage il vous sera certainement très difficile de vous concentrer sur l’évenement que vous avez choisi comme moment typique. Vous y arriverez mieux avant et après.
Choisir l’évenement ressource:
Signe pour STOP CONTINUER, rappeler la métaphore du tunnel.
La perdurance de l’effet / Métaphore du four
Calibrage du test myotatique.
Lorsque le test myotatique montre systématiquement de la faiblesse
Le client a peut-être tout simplement faim ou soif. La solution est de l’inviter à boire et/ou manger quelque chose
Le niveau de stress du client est tellement élevé qu’il faut commencer par le faire baisser en tapotant le nouveau nerf vague
Le client est stressé en parlant de son problème : faire baisser en tapotant le nouveau nerf vague et en abordant ses ressources
Le client est sous l’emprise de l’alcool ou a pris des drogues ou des médicaments. Ou il porte des vêtements nettoyés avec des produits chimiques.
Lorsque le test myotatique montre systématiquement de la force
La formulation de l’objectif n’est pas optimale. Rappeler au client que son inconscient et son conscient peuvent à tout moment modifier le cadre du coaching ou agrémenter l’objectif.
Le setting n’est pas optimal. La température de la pièce, la lumière, le téléphone n’est pas encore éteint, besoin d’aller aux toilettes
Le client vient avec son stress : le travail, le trajet, le temps qu’il fait ou le temps qui passe… un balayage wingwave sans objet suffit pour remettre l’arousal à un niveau compatible avec notre travail
QUESTION de XU
J’ai eu l’occasion de pratiquer 3 coaching wingwave et j’ai quelques questions à élucider.
1) Lorsque le coaché ne suis pas bien des yeux le balayage, c’est à dire que les yeux ne sont pas vifs lors du geste, est-il préférable d’utiliser la musique?
Pour ma part, j’ai continuer le balayage (rapide) avec ma main pendant toute la séance mais en faisant attention d’interpeler quand même les yeux aux les extremités de temps à autre en agitant les doigts.
2) Que faire quand le coaché a du mal à se remémorer un souvenir avec l’arbre des assertions ?
2) Sur le même sujet lorsque je le guide en posant un cadre, une date, des personnes etc…
3) Dernière question, si lorsque le test est (-u) pour un stress émotionnel et que le coaché ne sais ce que c’est, et que je propose une émotion qui est aussi (-u) mais qu’il dit « je sais pas », dois-je insisté sur l’émotion en question qui est issu de mon intuition? ou bien passer à autre chose?
REPONSE aux questionnements de Xu
1) Lorsque le coaché ne suis pas bien des yeux le balayage, c’est à dire que les yeux ne sont pas vifs lors du geste, est-il préférable d’utiliser la musique?
Pour ma part, j’ai continuer le balayage (rapide) avec ma main pendant toute la séance mais en faisant attention d’interpeler quand même les yeux aux les extremités de temps à autre en agitant les doigts.
—————- Tu as fait exactement ce qu’il fallait faire ——————-
2) Que faire quand le coaché a du mal à se remémorer un souvenir avec l’arbre des assertions ?
————–tester : « nous en savons assez » ———– si cela tient, c’est bon on peut travailler.
2) Sur le même sujet lorsque je le guide en posant un cadre, une date, des personnes etc…
————- tester…………………toujours et encore c’est le test myotatique qui nous garantit d’être dans les clous.
3) Dernière question, si lorsque le test est (-u) pour un stress émotionnel et que le coaché ne sais ce que c’est, et que je propose une émotion qui est aussi (-u) mais qu’il dit « je sais pas », dois-je insisté sur l’émotion en question qui est issu de mon intuition? ou bien passer à autre chose?
———— tu n’as pas besoin d’une intuition : tu proposes des émotions (tu peux suivre la liste sans te poser la question de la pertinence de tes proposition) si les doigts s’ouvrent, tu traites avec la stimulation cérébrale bilatérale alternée. ————————————————————
Question de XU
Bonjour,
J’ai besoin d’une précision, disons que « x » est le sujet du coaching.
Lorsque le client vient pour le sujet de coaching « x ». Je pose pas de question et je ne prononce que le thème du coaching et que le TM (test myotatique) est (-u), on est d’accord bien d’accord que le sujet « x » créé du stress chez le coaché et que l’on peut travailler dessus.
Et ma question est la suivante: est-ce que c’est la même chose si je teste avec le TM : « Peut-on travailler sur » x »? », et que le résultat est (+u)? Cela veut-il bien dire que l’on peut travailler sur « x » car le cerveau est « OK » de travailler dessus, c’est-à-dire qu’il ne voit pas gêne à aborder de sujet? Ou bien je me trompe ?
Merci d’avance !
Bonjour Xu
Tu as très bien compris : le ou la client•e pense à x les doigts s’ouvrent. µ –
Nous affirmons : « nous pouvons travailler sur x » et les doigts doivent tenir µ+
bonne continuation.
Pierre
Question XU
Une question, quand on travaille sur le futur, comment on fait ? On demande au coaché d’imaginer une situation ?
Réponse de Florence
D après ce que j avis compris tu fais également avec les âges comme pour le passé mais la question qu on se posait jeudi c était comment aller rechercher des scènes dans le passé ou le futur quand on n’a pas le TM , quand la séance est en visio ?
question XU
Est-il possible de faire L’arbre des assertions en Coaching à distance ?
Réponse Pierre
Sans le test myotatique, pas d’arbre d’assertions.
A distance on peut demander au client ou à la cliente s’il ou elle pense à quelque chose dans le future. Mais ce n’est pas ce que je préconise.
Le Story Telling est plus adapté…
Toutefois on peut travailler dans le futur si le sujet de coaching est dans le futur.
Parmi les ateliers du 8 il y en a un qui s’appelle « les situations stressantes prévisibles ».
Le sujet sera par exemple une prise de parole en public prévue ou un entretien d’embauche. Là on peut travailler une situation future sans le test myotatique.
QUESTION Cécile
Mon fils fait de gros cauchemars les nuits, en ce moment. Il se réveille tout mouillé, pense qu’il a stressé, mais ne se rappelle pas toujours a quoi il a rêvé. Il se lève le matin, assez fatigué de ces nuits agitées.
Comment je peux faire une séance quand le sujet est « les cauchemars » ?
Merci de ton retour,
Cécile
REPONSE Pierre
Merci pour ta question.
Le sujet n’est apparemment pas le cauchemar…
Le cauchemar – d’après ce que je lis dans ta question – est une interprétation de ce que pourrait être l’origine du problème.
Même l’idée qu’il a stressé semble une supposition.
Les sujets sont possiblement
– être fatigué le matin au réveil
– être tout mouillé dans le lit au réveil.
Donc vous testez une de ces assertions : si elle tient vous tester l’autre.
Vous travaillez sur celle qui a lâcher.
Par exemple « Quand tu te réveilles et que tu es tout mouillé, que penses tu de toi » (cognition – et +)
et qu’elles sont les émotions que cela provoquent (-)
Si aucune des deux ne provoque du stress, demande lui ce qui le dérange.
S’il ne trouve rien, tu peux proposer, ce qui te passe par la tête. Moi par exemple je proposerai : « tu ignores ce qui se passe la nuit »
Bonjour,
J’ai une question concernant la réaction physiologique après un balayage, je voudrais savoir ce qui se passe d’un point de vue biologique ou neurologique après un balayage. Quel est le processus de cette réaction ? Merci !
Bonjour Yang et merci pour ta question. On appelle cette réaction aussi « marqueur somatique » ou « biomarqueur »
Il s’agit d’une hypothèse que je reprends volontiers.
Marqueurs somatiques : Changements dans le corps et le cerveau qui, ensemble, constituent une émotion. Ils sont déclenchés par la perception d’événements externes ou imaginaires et peuvent inclure des changements perceptibles (posture, expression faciale) et imperceptibles (sécrétion endocrinienne, rythme cardiaque).
Bonjour Yang et merci pour ta question. On appelle cette réaction aussi « marqueur somatique » ou « biomarqueur »
Il s’agit d’une hypothèse que je reprends volontiers.
Marqueurs somatiques : Changements dans le corps et le cerveau qui, ensemble, constituent une émotion. Ils sont déclenchés par la perception d’événements externes ou imaginaires et peuvent inclure des changements perceptibles (posture, expression faciale) et imperceptibles (sécrétion endocrinienne, rythme cardiaque).
Bonjour,
J’ai fait un coaching récemment et j’ai dû l’interrompre car le client a exprimé de vive voix vouloir arrêté le coaching. Pourtant, on commençait a réellement toucher le vif du sujet mais je pense qu’il a été dépassé par l’enchaînement des choses et il a préféré l’arrêté.
Pour ma part, j’ai testé avec le test myotatique si on devait arrêter ou continuer et, la réponse était claire, il fallait continuer. J’ai ensuite insister deux fois de manière orale de continuer / ne pas arrêter le coaching mais il était décider d’interrompre le coaching. J’ai donc vérifié si les scènes tenaient (2/3 scènes) et j’ai ensuite clôturé le coaching par l’ancrage et le travail sur les croyances.
Ma question pour Pierre est, qu’est-ce que tu recommandes lorsque le client ou la cliente exprime clairement qu’elle veut interrompre le coaching? Et comment palier cette situation ? Merci d’avance
Bonjour Pierre,
J’ai besoin d’une petite précision concernant l’évaluation des croyances. Lors du début du Coaching, le résultat pour les Cr+ et Cr- nous avons des TM à (u-).
Ma question est la suivante, lorsque le Coaching est terminé, quel serait le « résultat attendu » en temps normal.
Est-ce bien le résultat suivant,
Cr- à (u-) et Cr+ à (u+)
ou bien,
Cr- à (u+) et Cr+ à (u+).
Merci d’avance !
Bonjour
En fin de coaching : croyance ou cognition négative et croyance ou cognition positive doivent résister au test myotatique.
L’une parce qu’elle ne touche plus (elle n’a plus d’effet sur le ou la cliente) l’autre parce qu’elle est devenue une évidence y compris quand on repense à la situation.
Bonjour,
Je voudrais avoir un détail sur les assertions lors des Coaching. Lors d’échange entre coach, on m’a reprise en me disant qu’il ne faut pas utiliser d’assertions interrogatives.
Ex :
« est ce que c’est la peur ? »
« c’est la peur »
Je voulais juste avoir une confirmation.
Merci d’avance !
Bonjour Xu
Tout à fait exacte une assertion est une affirmation.
Ni une interrogation ni une phrase exprimé avec une négation.